Dans la chambre 12, la vie s'éteint.
Le plafond se baisse et réduit l'air.
La pression est dense, je peux palper l'intensité de la douleur, je la sens glisser entre mes doigts.
Les larmes dans la gorge, elle me dit "je crois qu'il est parti".
La pièce est plus petite. Le temps et l'espace ne font qu'un, concentré et suspendu au dessus de nos têtes.
La mort, si commune et personnelle à la fois.
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